John Locke
John Locke (prononcé en anglais : /d͡ʒɒn lɒk/), né le 29 août 1632 à Wrington (Somerset) et mort le 28 octobre 1704 à High Laver (Essex), est un philosophe anglais. Il vit à une époque charnière qui voit la fin des guerres de religion, les débuts du rationalisme et une forte opposition à l'absolutisme en Angleterre. Proche du comte de Shaftesbury, Locke est partie prenante à ces débats et aux théories alors naissantes du contrat social, de la loi et du droit naturel, ainsi que de l'état de nature. Il s'intéresse aussi aux prémices de ce qui sera appelé à compter du XIXe siècle le libéralisme. Ses écrits sur la tolérance ne peuvent être disjoints d'une période où s'opère un profond réajustement des champs politiques et religieux. Dans l'optique qui s'ouvre en partie grâce à lui, le politique s'occupe du monde présent et la religion s'occupe du monde de l'au-delà, les deux ne devant pas interférer. Sa théorie politique s'oppose à l'absolutisme qui se met alors en place en France et qui échoue à s'imposer en Angleterre, en partie à cause de lui. Il est aussi un des fondateurs de la notion d'état de droit. Son Essai sur l'entendement humain est un ouvrage majeur dans lequel il construit une théorie des idées et une philosophie de l'esprit. Tout en s'opposant au matérialisme de Hobbes, il considère que l'expérience est à l'origine de la connaissance et rejette la notion d'idées innées soutenue par Descartes. Sa théorie de la connaissance est qualifiée d'empiriste. À côté de ses activités philosophiques, il est l'un des principaux investisseurs de la Royal African Company, pilier du développement de la traite négrière.
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@johnLocke
Le pouvoir de la législative dérivée du peuple par une subvention et une institution volontaire positifs ne peut être autre que ce que cette subvention positive a transmis, qui ne fait que faire des lois, et non pour faire des législateurs, le législatif ne peut avoir aucun pouvoir de transférer leur autorité de faire des lois et la placer entre d'autres mains.
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La nécessité de poursuivre le vrai bonheur est le fondement de toute liberté, dans toute sa mesure, est le plus grand plaisir dont nous sommes capables.
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La liberté doit être exempte de retenue et de violence des autres
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Pour ceux qui perçoivent mais durément, ou conservent les idées qui viennent à l'esprit mais les malades, qui ne peuvent pas facilement les exciter ou les aggraver, n'auront pas peu de matière à penser.
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En bref, ici semble mentir la différence entre les idiots et les fous, que les fous assemblaient de mauvaises idées, et font donc de mauvaises propositions, mais se disputent et raisonnent le droit: mais les idiots font très peu ou pas de propositions, et la raison rare du tout.
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De longues discours et des lectures philosophiques, au mieux, étonne et confondent, mais n'enseignent pas les enfants. Quand je dis donc qu'ils doivent être traités comme des créatures rationnelles, je veux dire que vous devez les rendre raisonnables, par la douceur de votre voiture, et dans le sang-froid même dans leur correction, que ce que vous faites est raisonnable en vous , et utile et nécessaire pour eux; Et qu'il n'est pas par Caprichio, passion ou fantaisie, que vous commandiez ou que vous leur interdisez.
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Le mérite et les bonnes œuvres sont la fin du mouvement de l'homme; Et la conscience de la même chose est l'accomplissement du repos de l'homme; Car si un homme peut être le partage du théâtre de Dieu, il sera également le partage du repos de Dieu.
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Comme l'usurpation est l'exercice du pouvoir auquel un autre a le droit, donc la tyrannie est l'exercice du pouvoir au-delà du droit, à laquelle personne ne peut avoir le droit.
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Il existe mille façons de richesse, mais une seule façon vers le ciel.
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Le Commonwealth de l'apprentissage n'est pas à l'heure actuelle sans les maîtres-constructeurs, dont les conceptions puissantes, dans l'avancement des sciences, laisseront des monuments durables à l'admiration de la postérité; Mais tout le monde ne doit pas espérer être un Boyle, ou un Sydenham; et à une époque qui produit de tels maîtres, comme le Grand-Huygenius, et l'incomparable M. Newton, avec une autre de cette souche; «C'est suffisamment d'ambition pour être employé comme un sous-travail dans le terrain de compensation un peu, et en supprimant certaines des ordures, qui réside sur le chemin de la connaissance.
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Les choses de ce monde sont dans un flux si constant, que rien ne reste longtemps dans le même état.
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Par conséquent, c'est une erreur de penser que le pouvoir suprême ou législatif de toute richesse commune peut faire ce qu'il va et éliminer les domaines du sujet arbitrairement, ou en prendre une part au plaisir.
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Il ne peut pas être proposé qu'une règle morale ne peut pas exiger à juste titre une raison. Chaque homme a une propriété chez sa propre personne. Ce que personne n'a le droit de lui-même. Le peuple ne peut pas déléguer au gouvernement le pouvoir de faire quoi que ce soit qui serait illégal pour eux de faire eux-mêmes.
@johnLocke
Le législatif ne peut transférer le pouvoir de faire des lois à d'autres mains. Car ce n'est qu'un pouvoir délégué du peuple, ceux qui l'ont, ne peuvent pas le transmettre aux autres. Le peuple seul peut nommer la forme du Commonwealth, qui constitue le législatif et la nomination des mains duquel qui sera.
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Les actes de l'esprit, dans lesquels il exerce son pouvoir sur des idées simples, sont principalement ces trois: 1. combinant plusieurs idées simples en un composé, et donc toutes les idées complexes sont faites. 2. La seconde apporte deux idées, qu'elles soient simples ou complexes, ensemble, et les mettant les uns par les autres afin de les en prendre en même temps, sans les unir en un, par lequel il obtient toutes ses idées de relations. 3. Le troisième les sépare de toutes les autres idées qui les accompagnent dans leur existence réelle: c'est ce qu'on appelle l'abstraction, et donc toutes ses idées générales sont faites.
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C'est une chose à persuader, une autre de commander; Une chose à appuyer avec des arguments, une autre avec des pénalités.
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Le montant à la place est laborieux et, par des douleurs, les hommes se font plus mal; et c'est parfois de base, et par indignités, les hommes viennent aux dignités.
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Il est vain de trouver la faute de ces arts de tromperie où les hommes trouvent du plaisir à tromper.
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Les connaissances étant à avoir seulement de la vérité visible et certaine, l'erreur n'est pas une faute de nos connaissances, mais une erreur de notre jugement, donnant l'assentiment à ce qui n'est pas vrai.
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Le pouvoir de la législative dérivée du peuple par une subvention et une institution volontaire positifs ne peut être autre que ce que cette subvention positive a transmis, qui ne fait que faire des lois, et non pour faire des législateurs, le législatif ne peut avoir aucun pouvoir de transférer leur autorité de faire des lois et la placer entre d'autres mains.
@johnLocke
La vertu est partout ce qui est jugé diable; Et rien d'autre que ce qui a l'allocation de l'estime du public est appelé vertu.
@johnLocke
Les lois prévoient, autant que possible que les marchandises et la santé des sujets ne soient pas blessées par la fraude et la violence des autres. Ils ne les gardaient pas à partir de l'époque ou de la mauvaise husane des possesseurs eux-mêmes.
@johnLocke
L'inclinaison à la bonté est profondément imprimée dans la nature de l'homme; Dans la moindre mesure, que si elle ne délivre pas les hommes, cela prendra à d'autres créatures vivantes; Comme on le voit dans les Turcs, des gens cruels qui, néanmoins, sont gentils avec les bêtes et donnent l'aumône aux chiens et aux oiseaux.
@johnLocke
C'est ce que je pense que les grands lecteurs sont susceptibles de se tromper; On pense que ceux qui ont lu tout ce qui a lu de tout comprend tout; Mais ce n'est pas toujours ainsi. La lecture ne fournit l'esprit que des matériaux de connaissances; C'est la pensée qui fait ce que nous lisons le nôtre. Nous sommes du genre ruminant, et il ne suffit pas de nous entamer avec une grande charge de collections: ;; À moins que nous ne les mâchons à nouveau, ils ne nous donneront pas de force et de nourriture.
@johnLocke
Il ne peut pas être proposé qu'une règle morale ne peut pas exiger à juste titre une raison. Chaque homme a une propriété chez sa propre personne. Ce que personne n'a le droit de lui-même. Le peuple ne peut pas déléguer au gouvernement le pouvoir de faire quoi que ce soit qui serait illégal pour eux de faire eux-mêmes.
@johnLocke
Les hommes étant, comme cela a été dit, par nature, tous libres, égaux et indépendants, personne ne peut être mis hors de cette succession et soumis au pouvoir politique d'un autre, sans son propre consentement.
@johnLocke
Chaque fois que les législateurs s'efforcent de retirer et de détruire les biens du peuple, ou de les réduire en esclavage sous un pouvoir arbitraire, ils se mettent dans un état de guerre avec le peuple, qui est donc absous de toute autre obéissance.
@johnLocke
Bien que l'eau courante dans la fontaine soit tout le monde, qui peut en douter, mais que dans le lanceur est le seul à le tirer?
@johnLocke
La seule chose dont nous avons naturellement peur, c'est de la douleur ou de la perte de plaisir. Et parce que ceux-ci ne sont annexés à aucune forme, couleur ou taille d'objets visibles, nous ne sommes pas effrayés par aucun d'entre eux, jusqu'à ce que nous ayons ressenti de la douleur de leur part, ou que nous ayons des notions pour nous faire du mal.
@johnLocke
Que la crainte [l'enseignant] ait sur l'esprit [des enfants] soit si tempérée par les marques constantes de tendresse et de bonne volonté, que l'affection puisse les inciter à leur devoir, et leur faire trouver un plaisir de se conformer à ses dictets. Cela les apportera avec satisfaction à leur tuteur; Faites-leur les entendre, comme celui qui est leur ami, qui les chérit, et prend des douleurs pour leur bien; Cela gardera leurs pensées faciles et libres, alors qu'ils sont avec lui, le seul tempérament dans lequel l'esprit est capable de recevoir de nouvelles informations et d'admettre en lui-même ces impressions.