Tara Brach
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@taraBrach
Pour moi, apporter des pratiques de stimulation de pleine conscience aux élèves, aux enseignants et aux parents est parmi les travaux les plus importants que nous puissions faire. Si nous pouvons aider la prochaine génération à devenir plus consciente, empathique et émotionnellement résiliente, ils apporteront leur sagesse à guérir la terre et à créer un monde plus paisible.
@taraBrach
Peut-être que la plus grande tragédie de nos vies est que la liberté est possible, mais nous pouvons passer nos années piégées dans les mêmes anciens modèles ... nous voulons peut-être aimer les autres sans se retenir, se sentir authentique, respirer la beauté qui nous entoure autour de nous , pour danser et chanter. Pourtant, chaque jour, nous écoutons des voix intérieures qui gardent notre vie petite.
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L'émotion de la peur fait souvent des heures supplémentaires. Même lorsqu'il n'y a pas de menace immédiate, notre corps peut rester serré et sur la garde, notre esprit s'est rétréci pour se concentrer sur ce qui pourrait mal tourner. Lorsque cela se produit, la peur ne fonctionne plus pour garantir notre survie. Nous sommes pris dans la transe de la peur et notre expérience de moment à moment devient liée à la réactivité. Nous passons notre temps et notre énergie à défendre notre vie plutôt que de la vivre pleinement.
@taraBrach
Comment serait-ce que, au milieu de cette activité, nous devions consciemment enlever nos mains des commandes? Et si nous devions arrêter intentionnellement nos calculs mentaux et notre précipitation et, pendant une minute ou deux, simplement faire une pause et remarquer notre expérience intérieure?
@taraBrach
Notre plus grand désir est d'être intime.
@taraBrach
Le côté de la peur peut nous faire nous retirer et nous protéger, mais c'est vraiment un retrait, une dissociation, une coupe. Plutôt que le détachement du mot, j'utilise généralement le mot non-attachement. Cela peut être sain lorsque nous nous soucions et nous sommes complètement engagés les uns avec les autres, mais ne sont pas attachés à des choses d'une certaine manière.
@taraBrach
Nous sommes mal à l'aise parce que tout dans notre vie continue de changer - nos humeurs intérieures, notre corps, notre travail, les gens que nous aimons, le monde dans lequel nous vivons. Nous ne pouvons que rien - un beau coucher de soleil, un goût sucré , un moment intime avec un amoureux, notre existence même en tant que corps / esprit que nous appelons soi-même - parce que toutes choses vont et viennent. Manquant de satisfaction permanente, nous avons continuellement besoin d'une autre injection de carburant, de stimulation, de réconfort des proches, de médicaments, d'exercices et de méditation. Nous sommes continuellement poussés à devenir quelque chose de plus, à vivre autre chose.
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Se dire la vérité et être qui nous sommes, et avoir de l'espace pour la vulnérabilité de l'autre personne en étant qui ils sont, nous permet de se déplacer dans une sorte de danse ensemble très fluide et gracieux.
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Lorsque nous sommes éveillés dans notre corps et notre sens, le monde prend vie. La sagesse, la créativité et l'amour sont découverts alors que nous nous détendons et nous nous réveillent à travers notre corps.
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Ma compréhension est que pour aimer, nous devons être capables de nous rendre totalement à la nature vivante / mourante de ce monde.
@taraBrach
Lorsque j'ai été présenté au bouddhisme pour la première fois dans un cours d'études mondiales de lycée, je l'ai rejeté d'emblée. C'était pendant les jours hédonistes de la fin des années 60, et ce chemin spirituel semblait si sombre avec sa préoccupation concernant l'attachement et, apparemment, l'anti-plaisir.
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Pour moi, apporter des pratiques de stimulation de pleine conscience aux élèves, aux enseignants et aux parents est parmi les travaux les plus importants que nous puissions faire. Si nous pouvons aider la prochaine génération à devenir plus consciente, empathique et émotionnellement résiliente, ils apporteront leur sagesse à guérir la terre et à créer un monde plus paisible.
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Ma prière est devenue «Puis-je trouver la paix ... Puis-je aimer cette vie quoi qu'il arrive». Je cherchais un refuge intérieur, une expérience de présence et de complétude qui pouvait me faire traverser toutes les pertes.
@taraBrach
Nous pouvons trouver un vrai refuge dans nos propres cœurs et nos droits d'esprit ici, en ce moment, au milieu de nos vies de moment à l'échange. Nous trouvons un vrai refuge chaque fois que nous reconnaissons l'espace silencieux de conscience derrière tout notre effort et l'effort. Nous trouvons refuge chaque fois que nos cœurs s'ouvrent avec tendresse et amour. Nous trouvons refuge chaque fois que nous nous connectons avec la clarté innée et l'intelligence de notre vraie nature.
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Je parle beaucoup de ce que j'appelle "la transe de l'indignité" qui est vraiment épidémique dans notre culture, ce sens de "Je ne suis pas suffisant" ou "quelque chose ne va pas avec moi". La plupart d'entre nous en ont un certain niveau parce que notre culture a toutes ces normes (transmises dans nos familles) de ce que signifie aller bien.
@taraBrach
L'erreur que nous faisons est que lorsque nous ressentons une autre personne ne nous traite pas de la manière qui nous fait nous sentir en sécurité et aimés, nous fixons notre attention sur cette personne et ce qui ne va pas avec elle. Nous fixons également ce qui ne va pas avec nous. Au lieu de cela, nous pouvons avancer deux ailes de conscience: l'aile de la pleine conscience (remarquant ce qui se passe en nous) et l'aile de la gentillesse (compassion à ce qui se passe en nous).
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Ma prière est devenue «Puis-je trouver la paix ... Puis-je aimer cette vie quoi qu'il arrive». Je cherchais un refuge intérieur, une expérience de présence et de complétude qui pouvait me faire traverser toutes les pertes.
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Permettre à un autre d'être tel qu'il est est plutôt ce que je considère comme un "espace". L'espace pour vous exprimer et savoir que vous allez être accepté. C'est plus là où je vais qu'avec la logistique physique réelle du temps que vous avez ensemble et du temps que vous avez séparé.
@taraBrach
Quand je regarde cet attachement se produire, je vois les croyances que j'ai autour de lui. Si quelqu'un ne fait pas attention à moi d'une certaine manière, dans mon esprit, cela signifie qu'il ne m'aime pas ou qu'il ne me respecte pas. Faire prendre conscience aux croyances qui sont sous l'attachement et sensibiliser à la façon dont mon corps et mon cœur se resserrent, m'aide à me réveiller et à réhabter un plus grand espace d'être. Tenir et repousser pourrait se poursuivre, mais je suis plus libre pour répondre de manière saine.
@taraBrach
Lorsque le désir de l'attention d'une certaine personne devient un "Je dois avoir" une sorte de saisie, alors l'identité s'organise autour de cela et cela devient très solide et collant. Cela provoque des souffrances parce que nous n'habillons pas la plénitude de qui nous sommes, nous sommes obsédés et contractés sur la vie d'une certaine manière.
@taraBrach
Comment serait-ce que, au milieu de cette activité, nous devions consciemment enlever nos mains des commandes? Et si nous devions arrêter intentionnellement nos calculs mentaux et notre précipitation et, pendant une minute ou deux, simplement faire une pause et remarquer notre expérience intérieure?
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Le chemin spirituel n'est pas une entreprise solo. En fait, la notion même de soi qui essaie de la libérer est une illusion. Nous y sommes ensemble et la compagnie d'amis spirituels nous aide à réaliser notre interconnexion.
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Nous sommes mal à l'aise parce que tout dans notre vie continue de changer - nos humeurs intérieures, notre corps, notre travail, les gens que nous aimons, le monde dans lequel nous vivons. Nous ne pouvons que rien - un beau coucher de soleil, un goût sucré , un moment intime avec un amoureux, notre existence même en tant que corps / esprit que nous appelons soi-même - parce que toutes choses vont et viennent. Manquant de satisfaction permanente, nous avons continuellement besoin d'une autre injection de carburant, de stimulation, de réconfort des proches, de médicaments, d'exercices et de méditation. Nous sommes continuellement poussés à devenir quelque chose de plus, à vivre autre chose.
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Lorsque le désir de l'attention d'une certaine personne devient un "Je dois avoir" une sorte de saisie, alors l'identité s'organise autour de cela et cela devient très solide et collant. Cela provoque des souffrances parce que nous n'habillons pas la plénitude de qui nous sommes, nous sommes obsédés et contractés sur la vie d'une certaine manière.
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Peu importe ce que le sentiment apparaît - engourdissement, irritabilité, honte - si je le laisse se produire et jouer, je m'ouvre naturellement dans l'éveil et les soins.
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Mon premier livre, «Radical Acceptance», est né de la souffrance de se sentir personnellement déficient et indigne. Parce que la plupart d'entre nous sont si rapides à se retourner contre nous-mêmes, les enseignements et les pratiques d'acceptation radicale se poursuivent comme un fort courant dans le «vrai refuge»: nourrir un cœur pardonnant et compréhensif est une étape de base sur le chemin.
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En prenant le temps d'explorer des souvenirs chargés en thérapie, nous pourrions découvrir des sentiments qui sont enterrés depuis des décennies.
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Nous sommes mal à l'aise parce que tout dans notre vie continue de changer - nos humeurs intérieures, notre corps, notre travail, les gens que nous aimons, le monde dans lequel nous vivons. Nous ne pouvons que rien - un beau coucher de soleil, un goût sucré , un moment intime avec un amoureux, notre existence même en tant que corps / esprit que nous appelons soi-même - parce que toutes choses vont et viennent. Manquant de satisfaction permanente, nous avons continuellement besoin d'une autre injection de carburant, de stimulation, de réconfort des proches, de médicaments, d'exercices et de méditation. Nous sommes continuellement poussés à devenir quelque chose de plus, à vivre autre chose.
@taraBrach
L'intimité qui survient en écoutant et en disant la vérité n'est possible que si nous pouvons ouvrir à la vulnérabilité de notre propre cœur. La respiration, contacter la vie qui est ici, est notre première étape. Une fois que nous nous sommes tenus avec gentillesse, nous pouvons toucher les autres d'une manière vitale et guérisse.
@taraBrach
Lorsque j'ai été présenté au bouddhisme pour la première fois dans un cours d'études mondiales de lycée, je l'ai rejeté d'emblée. C'était pendant les jours hédonistes de la fin des années 60, et ce chemin spirituel semblait si sombre avec sa préoccupation concernant l'attachement et, apparemment, l'anti-plaisir.