Directement du provençal. Au début c’était le pot de chambre, puis les urinoirs publics et lorsque ces deux moyens d’aisance ont disparu on a transféré le nom aux endroits publics ou privés, discrets, où tout le monde s’arrête pour uriner en l’absence de lieux plus appropriés, en particulier les endroits où les promeneurs indélicats arrêtent leurs chiens pour les laisser faire leurs besoins.
Dans le même ordre d’idées on trouve le mot cagadou à partir du verbe caguer (voir ce mot).