De "parpaillot" (éthymologie : du provençal "parpaillo" : "papillon" ou bien de Jean-Pierre Parpaille, chef protestant). Expression de mépris et d'intolérance datant des guerres de religion. Par extension, vise une personne supposée extérieure à Marseille, étrangère à ses mœurs, puis plus récemment une personne supposée extérieure à une communauté donnée et dont le faciès, le style vestimentaire, les manières suscitent le rejet (équivalant de "cave", "bouffon", "blanchard", "gadjo", "toubab").