< résultat d'établir définitivement la condition génératrice des oeuvres d'art, c'est-à-dire l'amour exclusif du Beau, l'Idée fixe.>>
Baudelaire

Mademoiselle de Maupin

Ce recueil est paru en 1872, à la fin de la vie de l’auteur. Il comporte six petits contes et deux articles, dont le second, « De l’obésité en littérature » est plus qu’étonnant. Les contes sont des petites perles légères et très imaginatives.Qu’il s’agisse du rêve symbolique de « La cafetière » à l’amour impossible qui fait aimer les romans chinois, de « Laquelle des deux », l’auteur a un style d’écriture qui mue à chaque fois. La légèreté du conte « La cafetière » se traduit y compris dans la modulation de la taille des paragraphes, très court lorsque l’action est rapide, plus longs lorsque les situations sont plus graves.Une lecture rafraîchissante.

Contes humoristiques

Les grotesques

Well-known French writer Theophile Gautier and Bernard Lopez combine their talents in this send-up of the cloak-and-sword dramas so popular with the Romantics. When the Spanish Queen's horse runs away with her, two unknown caballeros rescue Elizabeth from certain death--despite the fact that Spanish law prohibits anyone but the King and her closest attendants from touching her. But the Queen is not ungrateful, and Dona Beatrix, a Lady-in-Waiting, promises to marry the unknown savior, sight unseen, if the Queen can somehow save her rescuer from the capital punishment demanded by statute. A comedy of errors ensues, with two possible suitors pressing their claims upon Beatrix--and also on the Queen! A delightful and hilarious drama that should play well to modern audiences.

Regardez mais ne touchez pas

Théophile Gautier, c'est l'homme pressé qui voyage en zig-zag ! Pour se rendre à La Haye visiter une exposition sur l'industrie, il passe en coup de vent à Neufchâtel, Berne, Bâle, Strasbourg, Heidelberg, descend le Rhin, se perd à Düsseldorf, aborde Rotterdam, gagne La Haye et l'abandonne aussitôt pour Bruxelles et Paris. Il parcourt montagnes, villes, châteaux et musées, le tout en moins d'une semaine, mais avec l'oeil du critique d'art, la plume du poète et la verve du feuilletoniste et offre avec Ce qu'on peut voir en six jours, un haletant récit de voyage qui tient aussi bien du livre d'art que de l'art poétique

Ce qu'on peut voir en six jours

Un lord anglais et un savant allemand réussissent à pénétrer dans le tombeau d'un pharaon, dans la Vallée des Rois. Là, apparaît la momie d'une très belle jeune fille, Tahoser, qui a gardé l'apparence de la vie. Un papyrus, placé à ses côtés, explique l'énigme de la présence d'une femme dans une tombe destinée habituellement à un roi... A la suite de quels mystérieux événements Tahoser, orpheline d'un grand prêtre, a-t-elle régné sur l'Egypte ?

Le roman de la momie

Faute de devenir peintre, Théophile Gautier se fit poète et faute de pouvoir vivre de poésie, il se fit critique d'art et de théâtre. Il eut à ce titre à rendre compte de la plupart des Salons de peinture et de sculpture, de la monarchie de Juillet aux premières années de la IIIe République. Ce sont ses neuf premiers Salons (1833-1842) que l'on trouvera réunis dans ce volume. Ces textes, demeurés à ce jour inédits, l'imposèrent, avant Baudelaire, comme l'un des critiques les plus influents de la première moitié du XIXe siècle. Ils nous restituent un tableau particulièrement détaillé de cet événement artistique majeur qu'était alors le Salon annuel et des débats qu'il suscitait. Défenseur d'Ingres, de Delacroix, de Corot ou de Cabat, Gautier fut également attentif aux figures de second plan sur lesquelles il apporte de précieuses informations. Il mit toutes les séductions de sa langue au service des artistes et d'une esthétique étroitement accordée à son oeuvre littéraire et poétique. Les Salons constituent en cela une part incontournable de son oeuvre.

Oeuvres complètes ; critiques d'art Tome 1 ; salons 1833-1842

Recits Fantastiques

Théophile Gautier (1811-1872) 
 
"Guy de Malivert était étendu, assis presque sur les épaules, dans un excellent fauteuil près de sa cheminée, où flambait un bon feu. Il semblait avoir pris ses dispositions pour passer chez lui une de ces soirées tranquilles dont la fatigue des joies mondaines fait parfois un plaisir et une nécessité aux jeunes gens à la mode..." 
 
Guy de Malivert est un jeune aristocrate qui a tout pour lui. Tout le monde est persuadé qu'il va épouser madame d'Ymbercourt... Mais il ne l'aime pas. Alors qu'il est en train de lui écrire une lettre de rupture, d'étranges phénomènes se produisent...
Lorsque paraît "Spirite" en 1865, c'est la grande vogue du spiritisme... Les esprits communiquent avec les vivants... L'amour entre Guy et Spirite est-il possible ?

Mademoiselle de Maupin

Résumé

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Critiques

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