De la séduction

Nesse livro, Baudrillard discute temas como o medo de ser seduzido, a estratégia irônica do sedutor, o lúdico e a sedução fria, levando-nos a uma profunda reflexão sobre o assunto. Seria a sedução ainda hoje vista como o malefício e o artifício, a magia que nos impele ao desvio de todas as verdades, uma trama de signos?

Da Sedução

Entrevues à propos du "Complot de l'art"

Des événements mondiaux, nous en avions eu, de la mort de Diana au Mondial de football - ou des événements violents et réels, de guerres en génocides. Mais d'événement symbolique d'envergure mondiale, c'est-à-dire non seulement de diffusion mondiale, mais qui mette en échec la mondialisation elle-même, aucun. Tout au long de cette stagnation des années 1990, c'était la « grève des événements ». Eh bien, la grève est terminée. Les événements ont cessé de faire grève. Nous avons même affaire, avec les attentats de New York et du World Trade Center, à l'événement absolu, la « mère » des événements, à l'événement pur qui concentre en lui tous les événements qui n'ont jamais eu lieu. Que nous ayons rêvé de cet événement, que tout le monde sans exception en ait rêvé, parce que nul ne peut ne pas rêver de la destruction de n'importe quelle puissance devenue à ce point hégémonique, cela est inacceptable pour la conscience morale occidentale, mais c'est pourtant un fait, et qui se mesure justement à la violence pathétique de tous les discours qui veulent l'effacer.

L'esprit du terrorisme

Jean baudrillard, observateur de notre société contemporaine, est aussi un observateur de la pensée théorique.
 Au lieu de se lamenter sur la perte de la pensée et l'absence de la théorie il "reverse" la question en montrant que cette " perte " est en quelque sorte naturelle à la pratique sociale et que contrairement à ce que l'on pense cette "absence" indique une présence que le regret, la pensée nostalgique, le remord occultent, et que les exigences n'ont pas à disparaître ni à se dissoudre dans la morale.
 La pensée radicale consiste à pousser à son extrême le système qui guide les jugements et les goûts, et tend à démontrer que l'analyse ad hominem du système permet d'exercer non plus une " critique critique " mais une attitude qui ignore tous ressentiments et toutes nostalgies au profit d'une réalité radicale, " l'ennui avec la réalité, c'est qu'elle va au-devant des hypothèses qui la nient ".  de plus, dans l'ouvrage présenté ici, jean baudrillard jette un beau regard ironique sur les concepts qu'il a exploités, comme le simulacre, le symbolique et la simulation par exemple.

La pensee radicale

Pour une critique de l'économie politique du signe

Télémorphose précédé de L'élevage de poussière

Here you can read a modern French philosopher's impressions of America. The author writes poetically and impressionistically about his visits to California and New York and points in between. He is simultaneously impressed, charmed, confounded, curious, and intrigued by this big country and its people, in contrast to Europe and Europeans. This is not so much a travelogue, but rather a gentle and thoughtful dissection of American culture, done in drive-by fashion, taking in the architecture, billboards, men and women on the sidewalks, the corner stop-and-shops, the geography, the highways, deserts, even the skies. This is not a book putting down America, as one might eroneously assume, but neither is it a pat-on-the-back. For American readers, it will serve as a mirror that reflects striking realities, both flattering and not, that, nevertheless, have become so common to us Americans that they are practically invisible to us, if not for the insightful light shined by this urbane French writer. Think of this book as a French impressionistic painting of America,--more in the "people-caught-in-the-act" style of Manet, rather than Monet with his lillies and haystacks--where the mundane, the ugly, the beautiful and the grandiose blend into a composition of insight, harmony and even-handed judgement of the particulars. - David Ciaffardini on Amazon.com

Amerique

« Ces quelques textes sont dans le prolongement de L’Esprit du terrorisme, paru dans Le Monde du 3 novembre 2001, et publié aux Éditions Galilée en janvier 2002.Il ne s’agit pas de réactualiser l’événement du 11 septembre. Celui-ci était déjà, de par sa puissance, au-delà de l’actualité. Aujourd’hui submergé par elle, il la domine encore.Il n’y a pas d’ordre logique ni chronologique dans ces textes – seul le chapitre “Requiem pour les Twin Towers” se rattache à une intervention faite à New York en janvier 2002.Le propos est de dégager l’événement de la vague d’intoxication morale et politique qui l’a submergé depuis lors, et d’en restituer la puissance symbolique – car, pour ce qu’il en est de sa “vérité”, elle reste à jamais insaisissable. » J. B.

De la séduction

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