Manuel procedure penale (10e ed 2000-2001)

Grands arrets du droit penal general (les) campus

Nonobstant le principe de la légalité, tout le droit pénal n'est pas contenu dans la loi. Il suffit, pour s'en convaincre, de lire les arrêts de la chambre criminelle de la Cour de cassation et même du Conseil constitutionnel, voire du Conseil d'Etat. La loi, en effet, fournit et ne peut fournir que des règles générales et abstraites dans des domaines circonscrits. Il était donc indispensable que soit publiée une anthologie des grandes décisions rendues en matière criminelle dont l'ensemble constitue un véritable droit pénal jurisprudentiel. C'est l'objectif des deux auteurs de l'ouvrage Les grands arrêts du droit pénal général. Leur méthode consiste à choisir et à commenter l'arrêt ou les arrêts relatifs à une question. C'est ainsi que 56 questions ont été retenues et 122 arrêts sélectionnés. Ouvrage indispensable tant aux praticiens (avocats, policiers, magistrats), qui ont à connaître et à appliquer le droit criminel, qu'aux étudiants et chercheurs qui veulent avoir une vision concrète de cette discipline telle qu'elle résulte des décisions rendues par les juridictions répressives, il est à jour des toutes dernières réformes intervenues en matière pénale, notamment la loi du 12 mai 2009 de simplification et de clarification du droit et d'allègement des procédures.

Les grands arrêts du droit pénal général

Appel criminel, juge des libertés et de la détention, judiciarisation des fonctions du juge de l'application des peines et de la procédure pénale française est actuellement en pleine évolution et développe des institutions qui jusqu'alors étaient quasiment inconnues. L'application de ces textes est précisée par des circulaires récentes du Ministère de la Justice dont le Code Dalloz reproduit de larges extraits insérés sous les articles concernés par ces nouvelles dispositions, notamment en matière de placement en détention provisoire, d'appel criminel ou d'exécution des peines. Cette édition 2002 contient en outre les dispositions de la loi organique du 25 juin 2001 qui crée la procédure de saisine pour avis de la Cour de cassation. Elle est à jour des codifications nouvelles et offre des annotations jurisprudentielles encore enrichies, avec plus de 8 000 décisions référencées, tant internes qu'européennes.

Code De Procedure Penale. Code De Justice Militaire, Edition 2002

Cet ouvrage expose la comparaison à chacune de ses étapes d'un procès pénal respectivement devant la justice canadienne et devant la justice française. Les auteurs n'ont pas voulu comparer les deux systèmes sur le plan du droit substantif, par exemple sur la définition et le contenu des infractions ; ils se sont, au contraire, attaqués à la mécanique de la justice pénale, à travers les règles de procédure et de preuve. Le système canadien est bâti sur un ensemble très complexe visant à contrôler l'admissibilité et la légalité des moyens de preuve. C'est donc la loi ou la jurisprudence qui établit de façon précise ce que le juge peut entendre et ce qu'il ne doit pas entendre, ce dont il doit tenir compte pour évaluer la culpabilité d'un individu et ce qu'il doit résolument écarter. En droit français au contraire, et sauf exceptions, le juge décide seul de la pertinence des moyens de preuve et n'est donc pas lié par ce que certains auteurs français considèrent comme un carcan imposé par la tradition de common law. Ce livre est complet et propose une remarquable analyse en profondeur. Les auteurs possèdent une maîtrise parfaite et une connaissance approfondie de la jurisprudence, principale source du droit en la matière. Ils parviennent en effet, dans un langage direct et compréhensible, à décortiquer les arcanes parfois complexes de leurs cours de justice respectives et à les expliquer simplement. Il permettra aux juristes, canadiens et français, d'offrir un regard plus critique sur leur propre système et fournira l'occasion de mesurer selon leurs propres standards la portée et l'efficacité de celui-ci. Enfin, l'ouvrage offre une réflexion critique sur les valeurs conflictuelles des systèmes de justice pénale et incite à un questionnement approfondi sur l'adéquation de ceux-ci aux valeurs culturelles propresà chaque pays.

La justice pénale dans les droits canadien et français - Etude comparée d'un système accusatoire et d'un système inquisitoire

Droit pénal général

Le Juge d'instruction est assurément l'une des figures de proue de notre jusitce pénale. Attaqué par les uns, défendu par les autres, ce magistrat détient des pouvoirs considérables. Il peut interroger des personnes, les confronter, ordonner des expertises et des écoutes téléphoniques, opérer des perquisitions et des saisies. Il peut aussi faire incarcérer des personnes après les avoir mises en examen, ordonner des soins, voire le versement d'une pension alimentaire à un créancier d'aliments. En fin de procédure, il décide de la suite à donner à la poursuite.
Sans doute, le Juge d'instruction n'est plus ce personnage omnipotent qu'évoquait Balzac. Les parties peuvent lui demander de procéder à des investigations qu'il n'avait pas cru devoir effectuer. Elles peuvent faire appel de certaines de ses ordonnances, devant la Chambre d'accusation, dont le Président est aussi doté de pouvoirs particuliers, administratifs et judiciaires.
Ce livre présente le Juge d'instruction dans tous ses aspects.

Le juge d'instruction

En dépit du principe de la légalité, tout le droit pénal n'est pas contenu dans la loi. Il suffit, pour s'en convaincre, de lire les arrêts de la chambre criminelle de la Cour de cassation et même du Conseil constitutionnel, voire du Conseil d'Etat. La loi, en effet, ne fournit et ne peut fournir que des règles générales et abstraites dans des domaines circonscrits.
Il était donc indispensable que soit publiée une anthologie des grandes décisions rendues en matière criminelle dont l'ensemble constitue un véritable droit pénal jurisprudentiel.
C'est l'objectif des deux auteurs de l'ouvrage Les grands arrêts du droit criminel. Leur méthode consiste à choisir et à commenter l'arrêt ou les arrêts relatifs à une question. C'est ainsi que 86 questions sont retenues et 160 arrêts sélectionnés. Cet ensemble se répartit en deux tomes selon une méthode chronologique : le premier traitant des sources du droit pénal et de l'infraction, le second s'attachant au procès et à la sanction.
Ce volume prend la suite de l'ouvrage des mêmes auteurs paru chez Sirey (3e éd. 1992).

Manuel procedure penale (10e ed 2000-2001)

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