Depuis le début de son pontificat, Benoît XVI a évoqué à de multiples occasions la figure du prêtre. Ses paroles nourrissent la méditation des fidèles et de leurs pasteurs en suggérant toutes les dimensions du sacerdoce. Un recueil de pensées extraites des discours du pape, pour que grandisse dans le coeur des fidèles l'amour pour leur prêtre, et à travers lui pour l'Eglise. Un ouvrage qui participe à découvrir la beauté de la vocation sacerdotale.

Pensées sur le prêtre

Notre recherche de l'unité dans la vérité et dans l'amour ne doit jamais perdre de vue la perception que l'unité des chrétiens est l'oeuvre et le don de l'Esprit Saint, et va bien au-delà de nos efforts. Par conséquent, l'oecuménisme spirituel, spécialement la prière, est le coeur de l'engagement oecuménique (cf. Décr. Unitatis redintegratio, 8). Cependant, l'oecuménisme ne portera pas de fruits durables tant qu'il ne sera pas accompagné de gestes concrets de conversion qui secouent les consciences et favorisent la guérison des souvenirs et des relations. Comme le décret sur l'oecuménisme du concile Vatican II l'affirme, «?il n'y a pas d'oecuménisme sans conversion intérieure?» (n. 7). 

Ce livre ramasse les principales interventions du pape Benoît XVI sur l'unité des chrétiens.

L'unité des chrétiens

Ce livre est la publication de plusieurs textes inédits en français du cardinal Ratzinger. Ces quatre textes ont en commun de s'appuyer largement sur les Pères de l'Eglise et notamment sur saint Augustin, dont la figure constitue en quelque sorte le trait d'union de ce recueil.

- Le Dieu de la foi et le Dieu des philosophes.
- Le chemin de la connaissance religieuse chez saint Augustin.
- L'Eglise dans la piété de saint Augustin.
- Observations sur le concept d'Eglise de Tyconius dans le „Liber regularum«.

" La connaissance que Dieu est un Dieu qui se lie à l'homme et au monde, qui oeuvre au sein de l'histoire, ou sur un plan plus profond, la connaissance que Dieu est une personne, un Je qui sors à la rencontre du Tu, cette connaissance exige sans doute un nouvel examen approfondi des déclarations philosophiques et une réélaboration telle qu'elle n'a pas encore été suffisamment entreprise. Dans cette tâche d'une nouvelle et plus grande appropriation du concept de Dieu, la théologie catholique et la théologie protestante, venant de versants différents, pourraient prochainement se rencontrer. En tous les cas, travailler à une telle tâche signifierait théo-logie en un sens éminent et serait aussi une extension de ce que Richard de Saint-Victor, suivant Augustin et les Psaumes, reconnaissait comme la mission propre de la théologie, le « quaerite faciem eius semper » - « cherchez toujours sa face » « jusqu'à ce qu'Il vienne » et qu'il soit Lui-même la réponse à toute question "

Le Dieu de la foi et le dieu des philosophes

L'Europe de Benoît - Dans la crise des cultures

10 ans après le Concile, le Père Ratzinger, en qualité de professeur, a tenu à revenir aux repères fondamentaux de la foi. Dans son ouvrage, «Principes de la théologie catholique» où il rédige ses réflexions postconciliaires dès 1966, le chapitre 2 reprend magistralement le rapport entre l'Écriture, la Tradition et l'Église que le Concile, avec sa Constitution la plus fondamentale, Dei Verbum, a profondément renouvelé.  Il ne s'agit pas de détruire les traditions au nom d'une seule, d'opposer Jésus à la Tradition, d'opposer l'Ecriture à la Tradition (Luther), l'Ancien Testament au Nouveau, etc... mais de sauver et d'approfondir le centre de l'action divine en Dieu le Père et le Fils car la Lettre se fait chair , seul le Christ conduit le chrétien à un rapport d'intériorité avec la tradition et de là, la foi empruntera au baptême son vocabulaire et l'enseignement de l'église puisera au coeur de l'Ecriture sainte, échappant ainsi à la raison technique délivrant des formules dogmatiques figées, ou au culte d'un être en soi vide de sens.  L'opposition tradition et progressisme n'a plus lieu d'être. Et l'Ecriture Sainte parce qu'elle nous fut transmise par les Pères de l'Eglise, comme un patrimoine unifié et issu d'une communauté vivante, donne les bases d'une théologie indivise de l'Eglise, une construction de la foi qui cimente encore aujourd'hui la vie des chrétiens. Latéralement, le cardinal ne manque pas de démonter les idéologies de la pensée moderne...  Détruire la tradition, c'est faire de l'Eglise une communauté de management. Couper le Christ de la tradition, de l'Ecriture, c'est refuser sa filiation divine, la transcendance de son être profond, et l'histoire du Salut.

éclairages post-conciliaires Tome 3 ; écriture et tradition de la foi chrétienne

Lettre du 12 mars 2009 de Benoît XVI relative à la levée des excommunications des 4 évêques consacrés par Mgr Lefèbvre sans mandat du Saint-Siège.

Lettre sur la levée des quatre excommunications - 12 mars 2009

50 ans après son ouverture, le Concile Vatican II se trouve au centre d'un débat serré. On se demande comment il doit être lu et compris pour pouvoir orienter l'Eglise d'aujourd'hui et lui donner son dynamisme. Est-il le signe d'une rupture avec le passé ou d'une continuité ? Les conférences du cardinal Koch à Castel Gandolfo et les conversations avec le cercle des étudiants du pape émérite cherchent à apporter des réponses. Ce livre offre surtout la possibilité de connaître de plus près le point de vue du pape Benoît XVI. Dès 1978, Joseph Ratzinger rencontre ses anciens étudiants de doctorat pour un échange d'idées. Habitude qu'il a gardée même lorsqu'il est devenu le pape Benoît XVI. Ce volume rassemble les interventions de la réunion du cercle des étudiants qui a eu lieu en 2010 à Castel Gandolfo. A cette occasion, le cardinal Kurt Koch, Président du Conseil Pontifical pour l'Unité des Chrétiens, avait été invité comme conférencier.

Le concile Vatican II - L'herméneutique de la réforme

Ce volume recueille les homélies que le pape a prononcées au cours de différentes célébrations : messe chrismale, messe de la Cène du Jeudi saint, messe d'ordinations sacerdotales et diaconales, célébrations particulières... Leonardo Sapienza, prêtre rogationiste et collaborateur du Saint-Père à la Préfecture de la Maison pontificale, les a rassemblées en suivant le fil conducteur des signes et des symboles qui sont au coeur des sacrements et de la liturgie. II s'attarde particulièrement sur l'imposition des mains, le lavement des pieds, les vêtements sacerdotaux, l'huile, le pain et le vin. A travers les mots de Benoît XVI et grâce à la clé de lecture proposée par Leonardo Sapienza, ces textes proposent aux prêtres et aux fidèles un itinéraire théologique et pastoral qui permet de comprendre le sens des signes et des symboles qui scandent la célébration chrétienne.

Le pouvoir des signes

« La lettre du Saint-Père aux catholiques d'Irlande sur la crise des abus sexuels de la part de représentants de l'Eglise est un document impressionnant, qui montre sa douleur et son engagement personnel afin de contribuer à réparer, à assainir et à renouveler.
Ses mots s'adressent d'abord aux victimes, puis aux coupables.
Le Pape a aussi des mots d'encouragement, et invite à la responsabilité. Des mots qui s'adressent aux parents, aux jeunes, aux évêques, aux prêtres, et à tous les fidèles. 
Le Saint Père propose des initiatives concrètes, spirituelles et pastorales, de pénitence et de renouveau spirituel. » Extraits de la lettre du PèreLombardi,  Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège,  présentant la lettre du Pape

Pensées sur le prêtre

Résumé

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