Titre : Quand je considère ces têtes
Auteur : François Villon
Quand je considère ces têtes
Entassées en ces charniers,
Tous furent maitres des requêtes,
Au moins de la Chambre aux Deniers,
Ou tous furent portepaniers :
Autant puis l’un que l’autre dire,
Car d’évêques ou lanterniers,
Je n’y connois rien à redire.