Titre : Ô ne blasphème pas
Auteur : Paul Verlaine
Ô ne blasphème pas, poète, et souviens-toi.
Certes la femme est bien, elle vaut qu’on la baise,
Son cul lui fait honneur, encor qu’un brin obèse
Et je l’ai savouré maintes fois, quant à moi.
Ce cul (et les tétons) quel nid à nos caresses !
Je l’embrasse à genoux et lèche son pertuis
Tandis que mes doigts vont fouillant dans l’autre puits
Et les beaux seins, combien cochonnes leurs paresses !